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IDEAL Indépendance Démocratie Et Action Laïque
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IDEAL Indépendance Démocratie Et Action Laïque
16 octobre 2021

EMMANUEL MACRON EN CAMPAGNE ELECTORALE

Emmanuel Macron a trouvé une nouvelle occasion de salir le pays qu’il est chargé de représenter : l’anniversaire de la "sanglante répression" de la manifestation algérienne du 17 octobre 1961 à Paris.

D’après Benjamin Stora « la France doit reconnaitre un crime inexcusable… des dizaines et des dizaines d’Algériens ont été tués… C’est un crime d’État ». La police a tué, la police tue toujours comme vient de le dire le représentant de la France insoumise au conseil municipal de Cachan ou le trotskyste Philippe Poutou. L’un et l’autre restent fidèles à « l’historien » maoïste, Jean Luc Einaudi, qui, au procès de Maurice Papon, avait déclaré que celui-ci avait la responsabilité de 393 victimes, dont plus de 200 morts. Victimes qu’on ne trouve nulle part dans les archives. Or à supposer que le préfet de police eût voulu cacher ce crime, une telle quantité de corps n’aurait pu passer inaperçue.

Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, avec force détails qualifie ce jour de « massacre imaginaire » dans son livre : Algérie, l’histoire à l’endroit.

La période ne facilite pas l’examen objectif. En octobre1961 se profile la fin de la guerre d’indépendance algérienne qui sera signée en mars 1962. La lutte politique pour le leadership dans l’Algérie nouvelle s’accélère. Le FLN, Front de libération national algérien, ne souhaite pas partager le pouvoir avec les autres forces. Il les liquidera, beaucoup seront assassinés en France à cette période.

En aout 2021, lors de l’anniversaire du massacre des harkis par le FNL, Emmanuel Macron, déjà, se sentait obligé de leur demander pardon au nom de la France pour les avoir abandonnés sur leur territoire comme le voulaient les accords d’Évian.

   

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